Nepal - Langtang J1

Le Népal est très réputé pour ses treks dans la chaine himalayenne. Les principaux sont le tour des Annapurna, le trek de l’Everest, celui du Langtang ainsi que celui d’Helambu.

Dès notre arrivée à Katmandu, nous sommes assaillis par les agences qui ont pignons sur rue dans le quartier touristique de Thamel. Nous nous laissons donc embarquer dans plusieurs bureaux pour se faire une idée des prix proposés, de faire des comparatifs et d’obtenir des infos sur les différents parcours proposés.

Après plusieurs rencontres, nous décidons de nous nourrir de toutes ces infos et de monter notre trek seul, sans guide et sans porteur.
Nous allons nous procurer les cartes géographiques, chercher notre permis de trek, se renseigner sur les bus locaux qui partent vers la ville de départ et louer nos duvets -20 °C.

Nous décidons donc de partir pour 11 à 14 jours de trek (selon la forme !) à la découverte de la vallée du Langtang, l’ascension du Tserko Ri, repartir vers les lacs de Gosein Kund et revenir à pied vers Katmandu par la vallée d’Hélambu.

Une journée de bus local est nécessaire pour parcourir les 100km qui séparent Katmandu de Shyaphru Besi, ville de départ du trek du Langtang. Le trajet dure 11h, sur des pistes montagneuses aussi larges que notre bus et avec des ravins interminables en guise de barrière de sécurité. Le bus est vite devenu bondé à l’intérieur donc les sacs ainsi que les nouveaux voyageurs sont montés d’un étage. Nous devions être en moyenne 40 personnes à l’intérieur et 20 sur le toit.

Nepal

Notre bus – 11h de trajet

Le toit

Les passagers

Une pause Thé

Les toits

Dernière bière avant le trek

Dal Bhat

Les sardines

SHYAPHRU BESI – LAMA HOTEL

Départ de Shyaphru Besi situé à 1460m d’altitude pour une montée constante le long de Langtang Khola et atteindre Lama Hotel, situé à 2470m où seuls les trekkeurs font vivre les quelques habitants (gérants d’auberges) et leur famille. Une marche de 5h dans cette vallée surplombée de cette montagne grandiose dont les sommets ne nous sont mêmes pas perceptibles !
Nous croisons aussi beaucoup de porteurs népalais : les premiers sont ceux qui ramènent les vivres pour les villages plus en hauteur, les seconds sont les porteurs d’affaires de touristes. Certains diront que cela donne une marge de manœuvre à l’emploi local, nous nous voyons plutôt çà comme de l’esclavagisme des temps moderne surtout en voyant les attitudes de certains randonneurs vis-à-vis de ces porteurs d’une gentillesse indescriptible.

Notre carte

Le départ

Passage de rivière

Tranquille

Pont suspendu

Encore une pause

Maison de montagne népalaise

C’est par là !

Quoi de plus pour être bien

Notre source de boisson

Analyse de la carte !

Reporter sans frontière

Après l’effort le réconfort